The return. C’était évident, ça allait être pire, du genre « Plusse de gras! Plusse de sang! Plusse de bang bangs!« , sinon ça ne vaut pas le coup de faire une suite. Et comme de fait, le Crap Attack 2 a été bien plus gore que ma nuit dans un train indien. Oh well, faut croire que ça fait partie du pays. Mon conseil? Ne jamais aller là-bas sans s’attendre au pire, et surtout, surtout, avec une bonne dose de Bio-K.
Après deux mois de tempêtes gastriques, j’ai atterri dans le cubicule du Dr. Nick Walters, au Mission Hospital de Bangkok.